Ouverture à Pékin du 5e Forum sur la coopération Chine-Afrique dans les médias

PÉKIN, 29 août 2022 /PRNewswire/ — Le 5e Forum sur la coopération Chine-Afrique dans les médias (le « Forum ») s’est ouvert le 25 août à Pékin, en Chine, proposant des événements et des séances à la fois en ligne et en présentiel. Le président chinois Xi Jinping et le président sénégalais Macky Sall, qui est également le co-président africain du FOCAC, ont adressé des lettres de félicitations au Forum.

The 5th Forum on China-Africa Media Cooperation Opens in Beijing

Huang Kunming, membre du Bureau politique du Comité central du Parti communiste de Chine (PCC) et chef du service de publicité du Comité central du PCC, a lu les lettres des présidents et prononcé un discours d’ouverture.

Huang Kunming a noté que ces lettres reflétaient pleinement l’importance majeure de la coopération Chine-Afrique pour les dirigeants, ainsi que leurs immenses espoirs pour l’approfondissement de la coopération des médias et pour un partenariat stratégique global entre la Chine et l’Afrique.

Depuis sa création il y a 10 ans, le Forum est devenu une plateforme essentielle facilitant le dialogue et la coopération entre les médias chinois et africains et jouant un rôle important dans l’approfondissement de l’amitié entre la Chine et l’Afrique et le renforcement des liens entre les peuples.

Les médias des deux côtés ont soutenu l’esprit de coopération amicale et n’ont cessé d’œuvrer à maintenir l’équité et la justice, en publiant des sujets autour de la coopération Chine-Afrique à l’heure d’une ère nouvelle et en prenant leurs responsabilités pour faire progresser le développement mondial, promouvoir les valeurs communes de l’humanité et véritablement créer un climat d’opinion publique internationale de développement et de coopération cohésifs.

Les médias chinois et africains encourageront également la convergence de l’innovation et approfondiront la coopération dans les domaines de la technologie numérique et de l’économie numérique afin de renforcer les échanges, de partager les opportunités et d’améliorer les capacités de gouvernance numérique.

La cérémonie d’ouverture a été organisée par Xu Lin, vice-ministre du département de la publicité du Comité central du PCC et ministre de l’Administration nationale de la radio et de la télévision (NRTA), en Chine. Gregoire Ndjaka, PDG de l’Union africaine de radiodiffusion, Chen Jining, maire de Pékin, et Chushi Kasanda, ministre de l’Information et des médias de Zambie, ont prononcé des allocutions d’ouverture.

L’événement de deux jours comprenait également une exposition intitulée « Une décennie d’accomplissements : Coopération des médias Chine-Afrique (2012-2022) ».

Avec pour thème « Nouvelle vision, nouveau développement et nouvelle coopération », le Forum a tenu des séances concernant la politique de développement des médias, la coopération et l’innovation en matière de contenu ainsi que les nouvelles applications technologiques et la convergence numérique.

Le Forum a publié une déclaration conjointe qui rend compte des accomplissements réalisés au cours de cette décennie de coopération Chine-Afrique dans les médias. Concernant les perspectives et projets de développement médias pour l’avenir, cinq initiatives ont été proposées, à savoir le renforcement de la coopération et de la communication, le soutien au développement mondial, le récit de l’amitié Chine-Afrique, la promotion du développement des médias numériques, et le renforcement des échanges pour les jeunes.

En outre, le Forum a organisé des événements tels que la première exposition télévisée de programmes africains en Chine et une collection de courtes vidéos avec pour thème « Mon histoire de l’amitié Chine-Afrique.» Le Forum a également publié le compte-rendu de 12 succès de coopération en matière de co-diffusion de programmes, de création de documentaires, de programmes innovants et de coopération dans les nouveaux médias.

Le forum était co-organisé par l’administration nationale de la radio et télévision de Chine, le gouvernement populaire de la municipalité de Pékin et l’Union africaine de radiodiffusion. Plus de 240 délégués chinois et étrangers venus de plus de 40 pays et régions ont assisté au forum.

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GLOBELEQ S’ASSOCIE AU GOUVERNEMENT ÉGYPTIEN POUR DÉVELOPPER UN PROJET D’HYDROGÈNE VERT À GRANDE ÉCHELLE 

LONDRES et LE CAIRE, 29 août 2022/PRNewswire/ — Globeleq, la principale compagnie d’électricité indépendante en Afrique, a signé un protocole d’accord avec l’Autorité des énergies nouvelles et renouvelables (NREA), l’Autorité générale de la zone économique du canal de Suez (SCZONE), le Fonds souverain d’Égypte pour l’investissement et le développement (TSFE) et la Société égyptienne de transport d’électricité (EETC), afin de développer conjointement une installation d’hydrogène vert à grande échelle dans la zone économique du canal de Suez.

Globeleq - Powering Africa's Growth

Globeleq, en tant que développeur et investisseur principal, développera, financera, construira, possédera et exploitera le projet d’hydrogène vert. Il sera développé en 3 phases, totalisant 3,6 GW d’électrolyseurs et environ 9 GW de production d’énergie solaire photovoltaïque et éolienne. La première phase impliquera un projet pilote utilisant un électrolyseur de 100 MW, et se concentrera dans un premier temps sur les engrais verts à base d’ammoniac, tout en envisageant d’autres utilisations finales de l’hydrogène vert à moyen et long terme, y compris les carburants verts. Globeleq entend conclure des accords d’enlèvement à long terme avec des entreprises égyptiennes et internationales de premier plan et solvables, tout en soutenant leurs plans de décarbonisation.

En capitalisant sur les meilleures ressources éoliennes et solaires photovoltaïques d’Égypte, sur des infrastructures bien développées et sur le cadre réglementaire favorable aux investissements du gouvernement égyptien, Globeleq vise à produire de l’hydrogène de manière compétitive pour les exportations et le marché local. La situation géographique unique de l’Égypte, à la croisée de l’Afrique, de l’Europe et de l’Asie, avec environ 13 % du commerce mondial qui transite par le canal de Suez, place le pays en position de devenir un centre mondial pour l’énergie verte.

Globeleq investit en Égypte depuis 2003 et détient actuellement la centrale solaire photovoltaïque ARC pour Renewable Energy S.A.E. de 66 MWp située dans le parc solaire de Benban près d’Assouan. Globeleq vise à soutenir la stratégie ambitieuse du pays en matière d’énergies renouvelables en développant de nouveaux projets d’énergie solaire photovoltaïque, éolienne, de stockage d’énergie par batterie, de dessalement de l’eau de mer et d’hydrogène vert en Égypte.

L’ambassadeur britannique en Égypte, Gareth Bayley, OBE , a déclaré : « Globeleq est un investisseur britannique de premier plan, détenu à 70 % par British International Investment et à 30 % par Norfund, qui sont respectivement les institutions de financement du développement du Royaume-Uni et de la Norvège. La société investit en Égypte depuis près de 20 ans et nous nous réjouissons de la signature de ce protocole d’accord, qui souligne une fois de plus la relation solide entre le Royaume-Uni et l’Égypte. Le projet soutient également le leadership et les ambitions des deux pays en matière d’énergie renouvelable et de lutte contre le changement climatique. Nous avons hâte de continuer à travailler avec Globeleq et tous les intervenants concernés. »

L’ambassadrice de Norvège en Égypte, Hilde Klemetsdal , a ajouté : « Avec les plans ambitieux de Globeleq, la Norvège continue de renforcer ses investissements dans l’hydrogène vert en Égypte. Il s’agit d’un exemple du type de solutions que l’industrie doit adopter pour transformer la transition écologique en mesures concrètes. Nous apprécions notre solide coopération avec le gouvernement égyptien en faveur de ce virage vert et de la lutte contre le changement climatique. »

Mike Scholey, PDG de Globeleq , a indiqué : « Une action collective audacieuse et rapide est nécessaire pour mettre le monde sur une voie durable. L’Égypte est un pays clé pour Globeleq, et nous sommes heureux de soutenir l’ambitieux programme vert du gouvernement égyptien et de contribuer à la lutte contre le changement climatique. »

Waleid Gamal Eldien, président de SCZONE , a mentionné : « Le nouvel accord avec Globeleq s’inscrit dans la continuité de notre engagement à mettre en œuvre la vision de l’Égypte dans la transformation vers une économie verte. Le gouvernement égyptien a des plans ambitieux de transition énergétique, en plus d’accueillir la COP27, et des mesures actives sont prises pour faire de la SCZONE un centre majeur pour l’hydrogène vert. Nous sommes heureux de nous associer à Globeleq, l’une des principales sociétés d’énergie renouvelable au Royaume-Uni et dans le monde, et ce partenariat reflète l’intérêt des entités mondiales spécialisées dans l’investissement dans de tels projets, qui choisissent la SCZONE comme destination pour investir dans des projets de carburant verts, au service des marchés africain et international. »

Ayman Soliman, PDG du Fonds souverain d’Égypte , a déclaré : « Les partenariats dont nous sommes témoins sont une traduction de la stratégie intégrée de l’État visant à diversifier les sources d’énergie et à localiser la production d’hydrogène vert, dont tous les éléments couvrent les étapes en amont et en aval, dans le but de transformer l’Égypte en un centre régional pour l’énergie verte. Notre objectif est de maximiser l’utilisation des ressources énergétiques renouvelables de l’Égypte en partenariat avec des développeurs mondiaux spécialisés, afin de réaliser les objectifs et la stratégie du Fonds souverain d’Égypte. Nous sommes heureux de nous associer à Globeleq, qui est l’une des plus grandes sociétés britanniques internationales œuvrant dans le domaine des énergies nouvelles et renouvelables et des infrastructures, avec une attention particulière portée aux projets énergétiques en Afrique, et qui possède une vaste expérience de travail en Égypte. »

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Spain fishes bodies of 7 suspected African migrants from sea

MADRID— Spanish police said Monday they had fished the bodies of seven suspected migrants from the country’s southeastern Mediterranean coast since Sunday night.

“The guardia civil pulled out seven lifeless bodies off Alicante and Murcia” after spotting them “floating in the sea on Sunday afternoon August 28 and the morning of Monday 29th,” a police statement read.

The corpses were taken for autopsies to determine their age, sex and nationality, as well as cause of death, the police said, adding it appeared they were all north Africans who had tried to reach Spanish soil in an unseaworthy boat.

Saturday saw one man rescued slightly further up the coast after he tried to reach Spain on a boat six metres long and without a motor.

Police are investigating if his case is linked to those of the dead seven migrants.

From Jan 1 to Aug 15 Spain registered a total of 16,378 migrants arriving by sea.

At its shortest, the route to Spain from the Moroccan coast is around 100 kilometres, but migrants often come from much further afield, with the distance from Mauritania more than 1,000 kilometres as the crow flies.

Source: NAM NEWS NETWORK

UN experts urge more action to ensure dignity, equity and justice for migrants, refugees and asylum seekers of African descent

In a statement to mark the International Day for People of African Descent, UN experts said States must do more to combat the multiple forms of discrimination and violation of rights facing people of African descent.

“Today we celebrate the achievements and resilience of people of African descent, in the face of the devastating effects of the COVID-19 pandemic, systemic racism, racialised brutality perpetrated by law enforcement officials, and the climate crisis, among other challenges.

The International Day for People of African Descent is also an opportunity to assess the lived experiences of people of African descent around the world, promote and protect their rights, and call attention to the challenges and barriers many continue to face in the realisation of their rights. Such assessments highlight the continued precariousness and racialised experiences of migrants, refugees and asylum seekers of African descent.

As UN experts we have highlighted the situations of Haitian migrants, refugees and asylum seekers, people of African descent seeking refuge from Ukraine, and the under reported plight of migrant workers of African descent in the Middle East and Gulf states, many of whom are victims of trafficking for the purposes of labour exploitation. Most recently, we called for accountability in the Melilla tragedy, when at least 23 Africans attempting to cross the Spain-Moroccan border in Melilla lost their lives. The tragic images of Africans killed on the edge of the European Union, stood in sharp contrast to the support rightly provided to Ukrainians and laid bare the deep racial biases that sit at the heart of many contemporary border control policies and practices. It was a tragic reminder that States have to scrutinise their laws and practices and focus on safeguards and obligations on the use of force and non-refoulement, as part of holistic efforts to address racial discrimination, and uphold their duty to treat migrants, refugees and asylum seekers with dignity.

Migrants, refugees and asylum seekers of African descent not only risk disproportionate victimisation from conflict but face grave violations such as detention in inhumane conditions, human trafficking, exploitation, and forced transfers as they seek to make further perilous journeys to other countries in search of better opportunities. The added dimension of gender-based violations, sexual exploitation, and abuse at the hands of traffickers is a lived reality for many women and girls of African descent.

International migration is constant and many push factors for the migration and displacement of those of African descent, including climate change and conflict, have deep historical roots within colonial practices and their devastating legacies. International human rights law provides a robust framework for the protection of migrants, including refugees and asylum seekers. It is therefore incumbent on states to not only safeguard the lives of persons of African descent on the move, but to ensure that their human rights and dignity are also preserved with special protection measures for those – like women and children, the elderly, persons with disabilities, and those battling health conditions – who are most at risk.

We remain especially concerned by accounts of racial profiling, excessive use of force, and other violations of international human rights law by law enforcement officials, many of which remain largely underreported, because of fear of reprisals, negative experiences in previous interaction with law enforcement, lack of sensitivity or training of law enforcement officials, the belief that the complaint will be superfluous, and lack of appropriate data collection.

Whilst we commend the UN Member States that have taken some protective measures, more must be done. We call upon States to take into account the multiple, interconnected and compounding forms of discrimination, which are faced by people of African descent in their interactions with law enforcement authorities, resulting from nationality, migration status, gender, colour, age, religion, disability, socioeconomic and other status. States should translate their commitments under international human rights law into accountability and redress, and tangible improvements in the lived situation of people of African descent. States should also exercise due care and diligence in the treatment of people of African descent on the move, and guarantee their access to safety, development and justice.”

ENDS

The?Working Group of Experts on People of African Descent?was established on 25 April 2002 by the then Commission on Human Rights, following the World Conference against Racism held in Durban in 2001. The Working Group is part of what is known as the Special Procedures of the United Nations Human Rights Council. It is composed of five independent experts:?Ms. Catherine S. Namakula (Uganda) current Chair-Rapporteur; Ms. Barbara Reynolds (Guyana); Ms. Dominique Day (United States of America); Mr. Sushil Raj (India) and Ms. Miriam Ekiudoko (Hungary).

Justice Yvonne Mokgoro (South Africa, chairperson); Dr. Tracie Keesee (United States of America) and Professor Juan Méndez (Argentina) were appointed by the President of the Human Rights Council in December 2021 to serve as independent experts. The international independent expert mechanism to advance racial justice and equality in the context of law enforcement was established in July 2021 by the Human Rights Council to make recommendations, inter alia, on the concrete steps needed to ensure access to justice, accountability and redress for excessive use of force and other human rights violations by law enforcement officials against Africans and people of African descent.

Source: UN Human Rights Council

Some African Laws Create Difficulty for Young Mothers to Attend School

A new Human Rights Watch report says that in nearly one-third of African countries, teenage girls who become pregnant face “significant legal and policy barriers” to continuing their formal education.

Human Rights Watch said Tuesday it examined more than 100 laws and policies concerning education, gender equity, and reproductive health, that are detrimental to the education of teenage mothers.

Adi Radhakrishnan works with the rights group’s children rights division. He says some African laws have pushed young mothers out of school.

"It’s shocking to understand how governments are undermining girls’ education and effectively closing the door on girls’ futures... These are students who are denied their basic rights to education for reasons that have nothing to do with their desire or their ability to learn and they are not supported by their government,” Radhakrishnan said.

Researchers found that at least 10 African countries have no legal means or measures to protect adolescent girls’ education when they are pregnant and become mothers.

Several countries, including Sudan, impose punishments on teenage girls who have sexual relationships outside marriage. For those girls, going to school while pregnant raises suspicion and exposes them to possible criminal prosecution.

Hannibal Uwaifo is the head of the African Bar Association. He says cultural norms are mostly to blame for young mothers not continuing with their education.

“The issues have to do with families, society, and the community. I don't think there are any specific laws that bars people going back to school,” Uwaifo said. "I think we need to deliberately encourage African girls to return back to school. We need to actively and deliberately campaign that this teenage pregnancy doesn’t mean they should give up schooling or give up formal education otherwise, if there are any laws which are in place saying a teenage mother cannot go back to school, we would like to know about them and work on them.”

On the positive side, Radhakrishnan says 38 countries in Africa have laws that protect the education of pregnant and young mothers.

“Far more countries have positive frameworks than countries lack them or have discriminatory measures. We have seen students excluded because teachers do not know whether the positive law exists, or parents don’t know there are great lessons to be learned … countries across Africa draw positive practices from their neighbors and develop useful guidelines that make sure that all girls — regardless of pregnancy or motherhood status — all girls are able to access education in Africa,” Radhakrishnan said.

Human Rights Watch urges authorities in countries that lack such laws to create legal frameworks that affirm girls’ right to education. The advocacy group also encourages countries that already have laws and policies to fully implement them so young mothers — and their children — can benefit.

Source: Voice of America